Tamaryokucha Miyazaki Bio (Kama-guri)
La forme de feuille roulée de ce classique japonais est obtenue par une torréfaction supplémentaire après la cuisson à la vapeur conventionnelle. Tamaryokucha est un thé vert quelque peu différent dans le contexte japonais. La feuille frisée libère de fines notes de noisette dans la tasse, accompagnées d’un délicat arôme torréfié.
Le Tamaryokucha Miyazaki Bio, qui est apprécié pour sa saveur moins astringente par rapport au sencha à feuilles droites de style Tokyo, est principalement fabriqué sur l’île de Kyushu, d’où vient également le thé Gyokuro.
Cultivars: Sayama-midori/yabukita
Poids : 100g
Le Tamaryokucha Miyazaki est notre coup de cœur pour cette année ! Nul ne sait ce que peut-être la finesse d’un thé japonais sans avoir gouté une tasse de Tamaryokucha Miyazaki ! Il s’agit d’une symphonie qui s’équilibre, dansant entre deux mondes. Le choix précis et strict d’un cultivar japonais, ainsi que de sa méthode de production. La puissance aromatique du « pan » à la chinoise. Une pépite !
– Amandine & Maurin, La Maison des Arômes –
Le nom tama-ryoku-cha signifie «thé vert enroulé» (tama étant «boule, bijou» mais devenant ici l’attribut «enroulé, roulé»), et guri-cha signifie «thé frisé» (guri étant le nom d’un motif décoratif japonais classique, d’aspect bouclé). Les deux noms font référence aux feuilles enroulées en forme de virgule.
Feuille roulée caractéristique, d’un vert foncé et profond.
Coupe jaune-verdâtre. (Voir l’onglet « Pourquoi faire plusieurs infusions ? » ci-dessous)
Ce thé Tamaryokucha Miyazaki Bio provient d’un jardin sélectionné pour la très haute qualité de sa production.
Le Tamaryokucha Miyazaki Bio est issu de l’agriculture biologique, et est cultivé dans un jardin protégé.
Temps d’infusion : strictement 2 minutes.
Dosage : 2 cuillères à café pour 100 ml d’eau (faiblement minérale). Le Tamaryokucha Miyazaki Bio supporte jusqu’à 3 infusions de suite.
Température d’infusion : strictement 70°C
Récolte manuelle traditionnelle dite « Shigoki-zumi »
Étuvage traditionnel dit « Futsumushi »
Torréfaction traditionnelle dite « méthode de Aoyanagi »
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On l’appelle aujourd’hui kama-guri 釜ぐり, kama-iri-cha 釜炒り茶 ou encore, kama-iri-sei tamaryoku-cha 釜炒り製玉緑茶 (kama désignant l’espèce de poêle qui sert à stoppé le processus d’oxydation). Ses feuilles sont d’un vert terne, sans lustre, tirant parfois un peu sur le blanc. Sa liqueur est d’un beau jaune doré, complètement translucide. C’est un thé à la saveur légère, qui met plutôt l’accent sur son doux parfum.
Il n’est plus produit aujourd’hui qu’à Kyûshû, en particulier dans les départements de Saga et de Nagasaki selon la méthode de Ureshino 嬉野, et dans le départements de Kumamoto et de Miyazaki selon la méthode de Aoyanagi 青柳.
Après le chauffage direct, les feuilles sont malaxées, puis passent par diverse phases de séchage et de chauffage (dans le but d’en faire ressortir la saveur).